Histoire et patrimoine

Présentation

La ville de Saint-Pierre-lès-Elbeuf (76320) fait partie de la Métropole Rouen Normandie. Elle se situe dans le Département de la Seine-Maritime, dans la grande Région de Normandie. La ville compte aujourd’hui environ 8 376 habitants pour une superficie de 636 hectares.

La commune compte environ 50 km de voirie. Saint-Pierre-lès-Elbeuf fait partie de la Métropole Rouen Normandie (env. 493 000 habitants) et de l’arrondissement de Rouen. Ses habitants s’appellent les Saint-Pierrais(es) ou encore les Pierrotins. Limitrophe du Département de l’Eure, la commune est traversée par trois cours d’eau : la Seine, l’Eure et l’Oison. Elle est également entourée de forêts (forêt de Bord, Louviers, Elbeuf).

Histoire et pâtrimoine

La commune de Saint-Pierre-lès-Elbeuf est née en 1857 à la suite d’un décret napoléonien. Il s’agissait de regrouper une partie de la commune de Caudebec-lès-Elbeuf avec la commune de Saint-Pierre-du-Lierroult. La fusion des deux communes donna naissance à Saint-Pierre-lès-Elbeuf.

Depuis toujours, la commune possède dans ses jardins, de nombreux puits. Ce qui explique que Saint-Pierre-lès-Elbeuf est également appelé « La ville aux cent margelles ».

D’ailleurs aujourd’hui, un puits situé dans la cour du Château du Parc, est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

En 2019, le Conseil Municipal des Jeunes a retracé toute l’Histoire de Saint-Pierre-lès-Elbeuf dans un livret « Raconte-moi Saint-Pierre ».

Ne vous fiez pas aux apparences, le Donjon de Saint-Pierre-lès-Elbeuf est loin de révéler tous ses secrets. Cet édifice en briques est une construction cylindrique réalisée « à la manière d’un donjon ». Son mécanisme, situé au sommet et composé de grandes ailes dignes d’un moulin à vent, sert à monter l’eau depuis le fond d’un puits avant sa redistribution dans la propriété voisine, le château du Parc. Par comparaison, c’est le même mécanisme que nos éoliennes d’aujourd’hui qui est alors utilisé pour faire cheminer l’eau courante jusque dans la propriété alentour. L’appellation de donjon n’est donc pas la bonne, ni celle de moulin d’ailleurs, puisque cet édifice n’est autre qu’un château d’eau. Aujourd’hui, le moulin n’existe plus dans sa fonction initiale. Il ne reste que l’édifice en briques qui abrite encore quelques oiseaux.

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Saint-Pierre-lès-Elbeuf compte deux Eglises sur son territoire. La construction de l’Eglise Saint-Louis débute en 1852 alors que les habitants du hameau de la Bretèque, qui fait encore partie de la ville de Caudebec-lès-Elbeuf, se plaignent de l’éloignement de leur Eglise.

C’est ainsi que la famille Gariel, riche propriétaire de la ville, fait don à la paroisse du terrain nécessaire pour accueillir ce qui ne devait être alors, qu’une chapelle accompagnée de son presbytère.

L’architecte du Diocèse, M. Barthélémy, établit les plans. Le 30 août 1852, l’Archevêque de Rouen, présent pour l’occasion, assiste à la pose de la première pierre et la fait bénir. Le 4 avril 1854, on assiste à l’inauguration de la 1ère partie de la construction (les 3 nefs et le chevet) suivie de la construction de la flèche le 8 avril 1874 puis du coq le 24 juillet de la même année. Les peintures murales du chœur, représentant cinq scènes de la vie du Christ, sont exécutées entre les années 1874 et 1877 par Alexandre Dupuy de Laroche. Elles seront restaurées, entre 2019 et 2020 grâce à l’engagement de l’Association de Restauration des Fresques de l’Eglise Saint-Louis (ARFESL), de la ville de Saint-Pierre-lès-Elbeuf, de l’Etat, du département de Seine-Maritime et de la générosité des habitants et des entreprises. Le 17 mai 1875, un lundi de Pentecôte, les 3 cloches sont bénies par l’Archidiacre de Rouen. Les cloches se prénomment Honorine, Albertine et Félicie. Au milieu du cœur se trouve la pierre tombale qui recouvre la sépulture du premier prêtre de la paroisse, Augustin Bizet 1891

Il aura fallu 23 ans entre la pose de la première pierre de la chapelle et l’achèvement de cette Eglise.

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Situé au cœur de la commune, le presbytère est considéré comme l’une des plus vieilles bâtisses de notre patrimoine. C’est en 1876, date gravée sur le haut de sa porte d’entrée, qu’il est offert à l’Evêque de Rouen par la famille Gariel, alors qu’une paroisse nouvelle se crée à Saint-Pierre-lès-Elbeuf.

Le presbytère est l’ancien Manoir de la Bretesche dont l’existence est attestée depuis le XVIIe siècle. Bretesche, devenu aujourd’hui bretèche, est un terme du Moyen-Age, qui désigne dans l’architecture militaire, une pièce de fortification ou un ouvrage avancé qui en renforçait un autre.

Le bâtiment est composé d’un ensemble architectural comprenant un château colombier appelé également pigeonnier mais aussi de granges, d’étables, d’un pressoir et de terres.

Au XXe siècle, Nicolas Lefèbvre, le premier maire d’Elbeuf, devient propriétaire de ce manoir et intervient dans l’amélioration de la propriété.

Le presbytère recèle bien des mystères… Au XXIe siècle, des travaux de voirie confirment la présence d’un souterrain traversant la rue de la Résistance. Si l’on s’en réfère à son nom initial, Manoir de la Bretesche, le presbytère pourrait être la fortification du château Plantefol, appelé aujourd’hui château du Parc, situé de l’autre côté de la rue de la résistance.

Le presbytère a connu de nombreux locataires dont le Père Hamel ou les religieuses de la Congrégation du Sacré-Cœur qui ont marqué notre histoire. Il est aujourd’hui la propriété de la Ville.

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La margelle est le rebord d’un puits. De même qu’on ne dénombre pas 100 clochers à Rouen, vous ne trouverez pas 100 puits à Saint-Pierre-lès-Elbeuf. Jadis, les Saint-Pierrais n’ayant pas accès à l’eau courante dans leur demeure, utilisaient l’eau des puits et de l’Oison (appelé le Dué par les anciens). Il faudra attendre les années 70 pour que les dernières maisons de la ville  soient raccordées à l’eau.

A Saint-Pierre-lès-Elbeuf, vous trouverez deux types de margelles, celles en pierres et celles en briques. De forme circulaire ou octogonale, la margelle en pierre, que l’on peut observer sur la place du Puits Mérot, surmonte le corps du puits en le débordant. Celle en briques forme une couronne de même diamètre que le corps du puits. Vous pouvez en observer, rue de la Haline, par exemple. Au fil de vos balades à Saint-Pierre-lès-Elbeuf, nous vous invitons à partir à la recherche des margelles qui sont un des héritages importants de notre patrimoine saint-pierrais.

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Le Hameau du Puits Mérot, où se situe le Lavoir, est habité par des tisserands qui travaillent à domicile pour la fabrication de draps d’Elbeuf. Dans l’histoire locale, au 16e siècle, les frères Mérot, qui donnent leurs noms au puits, sont des drapiers qui bénéficient d’une grande réputation.

Ce lavoir, qui sert à rincer les lessives effectuées à domicile, devient rapidement un véritable lieu de rencontres qui anime la place. Les lessivières, appelée également laveuses, viennent à pied et portent le linge à l’aide d’une brouette. Le travail est dur et nécessite de la force. Sur fond de clapotis et de bruits de battoir sur le linge, les bavardages vont bon train. Le pied sur la pierre, la main sur la poutre centrale du toit servant d’appui, le corps penché vers l’eau, elles attrapent le linge mis sur la barre, pour le ranger dans la corbeille.

Près du lavoir, des commerces fleurissent. Entre le Puits Mérot et l’angle de la rue de Griolet, on trouve un café avec un billard, une épicerie, une mercerie et un couvreur. La première mairie sera également installée dans une grande maison de ce hameau, qui deviendra bien vite trop petite.

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Le Quartier de la Gare se situe sur la Route de Louviers. L’arrivée du chemin de fer au 19e est particulièrement emblématique de la révolution industrielle en France. La création de la gare va bouleverser Saint-Pierre-Lès-Elbeuf, un village encore tourné vers l’agriculture.

En 1871, le Conseil Municipal approuve sa création et les travaux commencent. Elle sera inaugurée en 1872 et sera située sur la ligne Rouen-Orléans. Pour se diriger vers La Haye Malherbe, il fallait que le train monte la cote du Bohue. Il arrivait que les voyageurs aient à descendre afin d’alléger celui-ci, et même de couper du bois sur les talus afin d’alimenter le foyer de la locomotive !

Parmi les travaux effectués, il y a ceux qui ont eu lieu entre le Mont Enot* (point  culminant de Saint-Pierre) et la route de Saint-Cyr la Campagne, en l’occurrence un viaduc et une voute en briques.

Pour ce fameux viaduc, il a fallu empiler géométriquement des milliers de briques et faire cet ouvrage d’art.

Aujourd’hui, celui-ci est toujours debout. Il n’est plus exploité et la nature reprend sa place petit à petit.

En 1917, l’industrialisation se développe avec la construction de la filature Blin, une succursale de l’usine d’Elbeuf, qui ouvrira ses portes en août 1919. Elle se consacre exclusivement à la filature de la laine. Aujourd’hui les ateliers du Pré de la Bataille ont investi les lieux mais on peut encore remarquer la forme des toits à pente inégale, dite en Shed. Le versant vitré est orienté au nord afin que le soleil ne puisse venir altérer les couleurs des fils teints.

Les lignes de train ne survivront pas à la seconde guerre mondiale.

Dans la première partie du XXe siècle, cette zone de la route de Louviers était très bruyante car de nombreux artisans travaillaient les métaux dans cette allée. Forgerons, métalliers, serruriers, frappaient de leur maillet le métal contre l’enclume et chauffaient leur forge tout au long de la journée.

Trois générations de forgerons se sont succédé dans cette cour. C’est de cette activité que serait né le nom de la rue.

Une autre histoire raconte qu’il était bien difficile, voire dangereux, d’habiter dans cette cour devenue un endroit mal famé, tout simplement de vivre dans cet enfer.

La Cour d’enfer débouchait sur une impasse qui est devenue la rue Gravetel.

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Au début du XXe siècle, le tramway traversait la rue de Louviers, unique rue commerçante de la ville. La ligne venant d’Orival, se terminait à Saint-Pierre-lès-Elbeuf. L’exploitation des deux lignes de tramway, inaugurées le 26 mai 1898, s’arrête le 7 janvier 1926. Elles se croisaient Place du calvaire devenue la Place François Mitterrand à Elbeuf.

Par la suite, l’appellation a donné son nom à une salle de cinéma dont les vestiges sont encore présents.

Pour la petite histoire, l’Oison passe sous la route, à l’angle de la rue Lucas. A l’époque, les Pierrotins l’appellent le Dué comme bon nombre de rivière de France qui portent la lettre D pour initiale.  Une habitude vraisemblablement liée au fait que le mot « eau » vienne du celte ancien « dubro ».

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Le Lieroult, était le berceau de la famille Martel de Gravetel qui possédait un château à Saint-Pierre-lès-Elbeuf. « D’azur à trois marteaux d’argent », tel était décrit le blason de cette famille propriétaire au Lieroult à la fin du XVIIe siècle.

Bâtie en 1854, vraissemblement à l’emplacement d’un temple païen, l’Eglise du Lieroult surplombe la ville.

Son entrée est inversée par rapport à l’édifice originel. Dans le cœur, le maître-autel provient de l’Abbaye de Bonport.

Dès 1851, une confrérie, dont tous les membres sont tisserands, est dirigée par un « Roi » mandaté pour un an. D’ailleurs, il est fait mention de la présence dans l’Eglise d’une statue de Saint-Roch en bois de poirier, représentant le patron des tisserands.

En 1882, cette confrérie se transforme en « société de secours mutuels » ouverte au public. Plus tard, la confrérie de charité de Saint-Pierre s’installera dans la paroisse.

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Le pressoir appartient au Chateau du Parc. La demeure connaît au XVIIIe siècle ses heures de gloire avec un propritaire illustre, Alexandre Grosley, fils d’Henri de Lorraine, duc d’Elbeuf.

Le domaine abrite un pressoir à longue étreinte (7,40m de long et plus de 3m de haut), un tour à piler les pommes d’un diamètre de 5 mètres avec une meule en bois. Un pressoir est une machine agricole utilisée pour extraire par pression le jus ou l’huile de certains fruits, graines ou végétaux.

Racheté par la Ville, il est alors restauré par les Compagnons du Patrimoine.

Pour la petite histoire, des graffitis gravés sur les murs et relevés par Michel Démares au XXe siècle témoignent du temps jadis.

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La somptueuse forêt domaniale de Bord, autrefois propriété des Ducs de Normandie puis forêt royale du Royaume de France fut façonnée à la fois par Dame nature et par la main de l’Homme. Elle est désormais gérée par l’Office National des Forêts.

Elle protège en son sein, la Mare Asse ou « Mare Assae » littéralement traduit Mare à la belette en Gaulois. D’origine artificielle comme la plupart des mares de notre région, elle aurait été creusée à l’époque du néolithique, soit il y a environ 8000 ans. Elle permettait de stocker l’eau pour alimenter la population et le bétail.

La Mare Asse abrite un exceptionnel réservoir de biodiversité. La ville de Saint-Pierre-lès-Elbeuf participe à l’entretien de ses abords.

La légende raconte qu’un jour, Monsieur Asse, un riche propriétaire terrien qui venait de collecter le fruit de son fermage, perdit le contrôle de son âne qui s’emballa sur le chemin. La charrette, l’homme, l’âne et tout l’argent gagné tombèrent si profond dans la mare que personne ne les revit jamais. Et par les nuits de pleine lune, on peut parfois entendre retentir les braiements de l’âne aux abords de la Mare Asse…

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Comme Robert Delplanche l’indiquait dans le livre « Jadis le Dué, aujourd’hui l’Oison » : Le Dué, comme l’appelaient les Saint-Pierrais, était une petite rivière pleine de charme qui serpentait à travers le village en décrivant moult détours pour le bien être des riverains. On y trouvait une faune et une flore importante. Certains Saint-Pierrais parlent même de pêche aux anguilles dont certaines espèces subsistent encore aujourd’hui comme l’a confirmée le rapport de la Société d’Etude des Sciences Naturelles d’Elbeuf réalisée en 2017. A la fin du XIXe et dans la première moitié du XXe siècle, l’Oison était un axe important pour l’économie car elle alimentait en eau les moulins et les industries de la ville.

En 1973, le cours d’eau a été modifié sur décision du conseil municipal le 26 février 1971, car l’entretien de la rivière et son curage irréguliers provoquaient des inondations. L’Oison est ainsi devenu le canal rectiligne que nous connaissons aujourd’hui. Reméandré dans les années 2000, le cours d’eau est aussi une identité pour la ville au point que certains habitants considèrent qu’on est Pierrotin(e) et non plus Saint-Pierrais(e) si on est tombé une fois dans l’Oison.

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Depuis 1923, la commune de Saint-Pierre-lès-Elbeuf est propriétaire de 23ha qu’un inventaire du patrimoine décrit comme « un terrain en friches » sur la commune de Saint-Didier-des-Bois, au lieu-dit « Les communaux ».

Au printemps 1985, Michel Démares révèle l’intérêt de cet espace naturel exceptionnel et sollicite le maire, Claude Vochelet, pour en faire un site protégé. Le 18 février 1986, il crée au sein de l’Association Culture et Loisirs une section de « connaissance et de sauvegarde du patrimoine » avec Annick Crenn, surnommée « Dame Nature ». Des jeunes sont mobilisés puis employés pour entretenir le site. Rapidement, « les communaux » deviennent un lieu remarquable de la ville par la diversité de sa faune et de sa flore.

Aujourd’hui, ce site géolitique abrite des papillons de nombreuses variétés d’orchidées sauvages, et la violette de Rouen, une espèce en voie d’extinction.

Il est géré par le Conservatoire d’Espaces Naturels Normandie et fait l’objet d’une convention avec la Ville de Saint-Pierre-lès-Elbeuf, qui en est propriétaire, et l’Association Culture et Loisirs.

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Jules Clavel est un ingénieur chimiste qui fonde au début du 20e siècle, son entreprise de chimie implantée juste en face de son domicile, une grande maison de maître qui s’appellera quelques années, plus tard « La Maison Clavel ». Les affaires de M. Clavel prospèrent et il devient un richissime entrepreneur qui agrandit son entreprise et développe son activité au-delà des frontières saint-pierraises.

En 1981, Jules Clavel, Président Directeur Général de la Société Chimique Elbeuvienne lègue à la ville sa propriété pour permettre la rencontre des Anciens de Saint-Pierre-Lès-Elbeuf. La même année, Claude Vochelet, alors maire de Saint-Pierre-lès-Elbeuf, crée pour les personnes âgées « Le Club des Rosiers » au cœur de la Maison Clavel dont l’activité perdure encore aujourd’hui.

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Située pour partie à Saint-Pierre-lès-Elbeuf, l’île aux Moines sépare la Seine et l’Eure jusqu’à la jonction des deux cours d’eau. Son nom vient probablement de la présence des moines de l’Abbaye du Bec-Hellouin, qui reçurent, vers l’an 1060, des terres situées sur le territoire de Martot. Ils y possédaient également un cellier où débarquaient les vins qui venaient d’Île-de-France par la Seine.
L’île aux Moines était le paradis des pêcheurs grâce au barrage construit en 1965. Perches, anguilles, lamproies, sandres, brochets, saumons, truites de mer, aloses foisonnaient…


Démoli une première fois à la fin des années 30, il est reconstruit en 1970, rompu en 1977 avant d’être à nouveau reconstruit en 1981 et amélioré en 1999. En 2017, il est remplacé par une passerelle.
Un sentier parcourt le site permettant aux promeneurs de découvrir un paysage sauvage, relativement préservé et peuplé d’oiseaux tels que les grèbes, foulques, cygnes ou hérons…


L’île aux Moines fait partie des îles et berges de la Seine classées site Natura 2000. C’est une étape sur la route de la Seine à vélo qui va de Paris à la mer !